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En janvier dernier, j’ai participé à une formation organisée par une amie chez elle et donnée par Chantal Piron sur les annales akashiques. Les archives akashiques (ou encore la mémoire akashique) sont une sorte de mémoire universelle où se trouvent tous les événements, toutes les actions, toutes les pensées, qui ont été, sont et, potentiellement, seront. C’est en quelque sorte une grande bibliothèque de l’univers qui se trouve dans le monde subtil. Bien qu’abstrait, ce concept m’a rapidement parlé car j’y ai retrouvé des similitudes avec la Communication Connectée et la Parole Au Bébé. Tout d’abord, pour se connecter à cette mémoire universelle libre de tout jugement, il est nécessaire d’être bien ancré. Il faut également passer par un protocole d’autorisation. J’ai eu l’impression de me « connecter » à la mémoire akashique un peu comme je me connecte à la Sagesse lors d’une CoCo. Toutefois ici, pas de code binaire (oui-non), pas de test musculaire, pas de baguettes de sourcier. On pose une question (à propos d’une personne, d’un animal, d’un lieu…), on s’ancre et on « laisse venir ». J’ai été étonnée par la diversité des échanges lors de cette formation. Certains voient des images spécifiques, d’autres ont des ressentis très clairs (la fatigue ou la chaleur par exemple), d’autres encore percevront des « messages » comme si on leur parlait. J’ai pu expérimenter par moi-même ces différentes façons de recevoir l’information. Évidemment, on se demande si on ne rêve pas et si les informations reçues sont pertinentes. Je me suis rendue compte lors de la mise en commun de nos « lectures » avec les autres participants à la formation que nous avons très souvent des éléments de récit communs, même s’ils ont pu être perçus de manière différente par chacun.
La meilleure manière d’affiner ses sens est évidemment de pratiquer. J’étais bien décidée à m’exercer après cette formation mais c’est encore une fois le temps qui m’a fait défaut. J’aimerais toutefois vous partager une de mes lectures. Après la formation, j’ai demandé à quelques bonnes amies de me confier une « problématique » dans leur vie, afin que je puisse interroger les annales akashiques à ce sujet. Les lectures akashiques permettent en effet de mieux comprendre son histoire et d’éclaircir éventuellement l’objectif qu’on veut se donner pour la suite.
Une de mes amis m’a confié avoir une relation difficile avec sa fille qui cherche toujours la confrontation. Elle voulait savoir comment améliorer leur relation. En interrogeant les mémoires akashiques, j’ai d’abord eu une sensation inconfortable. Je voyais mon amie, enceinte, un peu abasourdie, se demander comment elle allait gérer « tout ça » (je n’ai pas les détails mais j’imagine qu’elle faisait allusion à son boulot, sa famille, peut-être d’autres événements…) une fois que le bébé serait là. Je perçois ensuite que le bébé « ressent » ce doute chez sa maman. Et là, un flot de pensées m’envahit. Ce flot de pensées était très rapide, j’ai noté tout ce que je pouvais comme je le pouvais, mais il est donc possible que le texte ci-dessous ne correspondent pas à 100% au flot de pensées reçu. Toutefois je suis certaine que l’essentiel y est :
« Je te prouverai que tu es une excellente mère. Tu es forcément une excellente mère, puisque tu es celle que j’ai choisie. Je te pousserai jusque dans tes retranchements dans le but que tu te rendes compte que malgré cela, tu ne vacilles pas. Ce sera dur mais je te rends service, Maman, tu n’en seras que meilleure et notre relation n’en sera que plus forte. Dans les moments difficiles, n’oublie pas que je t’aime et que je t’ai choisie. Je t’ai choisie car tu es la meilleure mère pour moi dans cette vie. Papa n’a pas ta patience : permets moi d’être plus douce avec lui. Tiens-moi tête si nécessaire. Ne t’oublie pas toi-même. Ne baisse pas les bras. Je te remercierai sûrement un jour. Et si je ne le fais pas, souviens toi que c’était pourtant mon intention. Nous avons beaucoup à apprendre l’une de l’autre, mais ça ne sera pas sans difficulté. Excuse-moi par avance, Maman, si je te fais souffrir. Tu seras récompensée plus tard. Je te le dis, la roue tourne, fais-moi confiance, c’est pour notre bien et notre « grandescence » (NDLR : aucune idée d’où m’est venu ce mot!) à toutes les deux que je ferai ça. Il faudra que je te provoque pour voir et apprendre ton exemple. Ce n’est pas grave si tu te trompes, si tu hésites. Si un jour tu dis blanc et le lendemain noir. Tu devras apprendre, expérimenter, être une mère différente de la tienne, mais de laquelle je pourrai m’inspirer. Maman, quand ça sera dur, désespérant, entends la petite voix de mon cœur. Elle te dit « je t’aime ». Je t’aime. Je t’aime. »
Tout de suite après avoir perçu ce message, je me suis sentie « déconnectée ». Et extrêmement émue. Reconnaissante d’avoir pu « ressentir » un tel message d’amour.
J’ai partagé ce message avec mon amie, qui en a été tout émue. Un grand merci à elle pour m’avoir permis de le partager!
Article d’une participante: https://jecoutemonbebe.wordpress.com/2020/05/06/lecture-akashique-message-dune-petite-fille-a-sa-maman